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25/10/2022
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Une nouvelle campagne publicitaire concernant la box WEeeTRI vient d’être lancée. Cette campagne est conçue pour accroître la notoriété de la WEeeTRI box, une borne de collecte des DEEE, les déchets des équipements électriques et électroniques. La campagne comprend des publicités en ligne et hors ligne, ainsi qu'une campagne de marketing sur les réseaux sociaux. L'objectif de la campagne est d'atteindre un public plus large que la cible habituelle du service en ligne de e-dechets.com qui s'adresse, en général, aux entreprises privées ou publiques.
La campagne publicitaire WEeeTRI est une nouvelle initiative de l’éco-organisme Ecologic via son service en ligne e-dechets.com. Elle a pour but de sensibiliser entreprises et collaborateurs à la collecte des DEEE, les déchets des équipements électriques et électroniques.
Cette campagne est importante, car elle contribuera à éduquer le public sur la bonne façon de trier ses déchets électroniques et contribuera à développer l'économie circulaire.
Elle vise à inciter les salariés et les entreprises à organiser des collectes de DEEE du bureau et de la maison sur le lieu de travail par la mise en place de WEeeTri Box.
Le plan média est un mix de Branding et de Performance.
L’audio digital offre des opportunités de communication grâce à des publicités ciblées, contextualisées et interactives. Pour résumer son attrait en quelques points :
Les spots audios seront diffusés en pré-roll ou mid-roll sur les principales plateformes web radio et streaming.
Elle permet de faire du ciblage en TV linéaire ou replay, c'est-à-dire qu'il est possible de différencier les publicités selon les foyers et selon des critères de ciblage bien définis : en fonction de données sociodémographiques, d'intérêts, géographiques, etc.. Cette segmentation la rend plus pertinente et plus efficace. Les spots TV seront diffusés sur les grandes chaines généralistes et business.
Plus souple car modifiable en direct, s’adaptant aux enjeux locaux et aux cibles, et plus impactant que l’affichage papier, le Digital Out Of Home est à l’honneur dans ce Plan Média, notamment grâce à son taux de mémorisation. En effet, selon une étude IAB, le DOOH présente 75% de taux de mémorisation, soit 30 points de plus que l’affichage traditionnel. La campagne sera déployée dans les gares et dans certains grands centres d’affaires.
La publicité sur les réseaux sociaux et sur les moteurs de recherche sont intégrés dans le plan média WEeeTRI. Ces incontournables canaux « à la Performance » renforcent le volet Conversion de ce Plan.
Les entreprises doivent porter une attention particulière à leur référencement afin de s'assurer que leur site web apparaît en tête des résultats dans un moteur de recherche. C'est pourquoi les articles et pages présentant la solution WEeeTRI et la campagne de pub WEeeTRI ont été optimisés pour correspondre aux attentes des internautes et des algorithmes en matière de SEO.
La campagne sera diffusée au cours du dernier trimestre 2022, en France.
La solution WEeeTRI est basée sur une box de collecte qui accueille les appareils électriques usagés en vue de leur recyclage. La WEeeTRI box est conçue pour recevoir les appareils du bureau et de la maison, un peu à la manière d'une mini déchetterie sur son lieu de travail.
Rendez-vous sur votre COMPTE pour créer votre compte puis écrivez à weeetri@ecologic-france.com pour confirmer votre participation à WEeeTRI.
Vous serez directement recontacté pour évaluer vos besoins en boxs et contenants.
Et vous recevrez en quelques jours, gratuitement, un pack comprenant une(des) box(s) WEeeTRI ainsi qu'un kit de communication pour informer vos salariés.
Il faut savoir que WEeeTRI est entièrement gratuite pour l'entreprise et les utilisateurs. Le seul objectif est de promouvoir le recyclage approprié des déchets électroniques.
Tous les petits appareils électriques et électroniques usagés du bureau et de la maison tels que des téléphones portables, sèche-cheveux, consoles de jeu, grille-pains, rasoirs ou encore des luminaires…
La solution WEeeTRI contribue à réduire la quantité de déchets électroniques envoyés chaque année dans les décharges en recyclant les matières et composants pour construire un monde plus durable.
03/10/2022
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Le modèle de consommation linéaire de la société actuelle doit prendre une tout autre direction si l’on veut atteindre les objectifs environnementaux. C’est là qu’interviennent les différentes méthodes de recyclage. Dans la pratique, on peut faire appel à des entreprises spécialisées dans la collecte de déchets électriques ou métalliques, notamment pour développer le recyclage des métaux en France.
La notion de RSE englobe tout impact de l’entreprise sur la société qui l’entoure. De ce fait, la société est amenée à mettre en place des dispositifs lui permettant de mesurer la prise en charge de ses déchets et l’atteinte des objectifs qui y sont liés.
Il est à noter que ces derniers sont inclus, et ce, de manière centrale dans la définition donnée par l’Union européenne de la RSE.
En partant de la RSE, vous pouvez aisément constater que la dimension environnementale est intrinsèquement liée avec deux autres notions fondamentales : le capital humain et l’économie.
De là, il en découle que la collecte et le traitement des déchets en tout genre deviennent une priorité dans la gestion des entreprises. Surtout si l’on veut réellement agir en faveur des différents ODD (Objectif de Développement Durable). Le recyclage des métaux en France s’impose alors comme un axe prioritaire de la politique de gestion des déchets.
En France, le recyclage des métaux commence à se généraliser. Cela est surtout poussé par une demande au niveau mondial. Depuis 20 ans déjà, on a pu constater une augmentation exponentielle des besoins en matières premières métalliques, en raison des situations économiques, sociales ainsi que sanitaires.
Au niveau planétaire, à l’heure actuelle, on note qu’environ un tiers des 60 métaux étudiés sont recyclés, et seulement à hauteur de 50 %. Mentionnons également que près de 34 éléments ne connaissent qu’un taux de recyclage en fin de vie de 1 %.
Sachez que votre entreprise peut bénéficier de certains avantages en optant pour la délégation de la gestion des déchets métalliques.
Afin de bien saisir l’intérêt de cette démarche de recyclage des métaux en France pour votre structure, il est intéressant, tout d’abord, de voir les bases de son fonctionnement.
En amont du processus de traitement et de recyclage, se trouve la collecte. Elle-même est précédée d’une phase de tri. Ce tri peut être effectué par votre entreprise pour faciliter la suite des autres démarches auprès des sociétés de traitement.
Dans un premier temps, il faut connaître les métaux qui sont dits ferreux. En règle générale, ce sont tous les déchets qui sont associés au fer et à l’acier. Ils proviennent des éléments lourds comme les voitures ou toutes autres constructions mécaniques. Ils peuvent aussi être issus d'actions de démolition de toutes sortes (bâtiments, chemin de fer, navire, pont, etc.). Dans leur revalorisation, ils seront surtout utilisés par les entreprises de sidérurgie.
Les déchets métalliques non ferreux sont la seconde catégorie de déchets métalliques. Quand on parle de recyclage et de collecte de déchets électroniques, on fait essentiellement référence à cette dernière catégorie. Ils proviennent des industries de transformation, mais aussi des articles électroniques en fin de vie (domestique ou industrielle).
Comment mettre en place la collecte et le recyclage des métaux dans votre organisation ?
Avant tout, en tant que représentant de votre entreprise, vous allez prendre contact avec la structure qui sera chargée de recycler vos déchets. Il peut, par exemple, s’agir de e-dechets pour la collecte des déchets électriques. Lors de cette discussion, vous mettrez en place les modalités qui seront associées à cette collaboration.
Dès lors, voici les différentes étapes de la démarche :
La boucle est ainsi bouclée. C’est de là que vient la notion d’économie circulaire qui réinjecte les déchets dans le cycle de production et de consommation.
Adopter une démarche de recyclage proactive présente de nombreux bénéfices. Premièrement, il s’agit d’une importante économie au niveau des ressources naturelles. Cette pratique vertueuse permet de réduire d’une manière considérable les exploitations minières dans le monde.
Deuxièmement, cette action permet aussi une réduction des émissions de CO2. C’est un corollaire qui est presque tout aussi important que la baisse des exploitations. En effet, en recyclant vos déchets métalliques en France, vous contribuez à une réduction de 20 ?s émissions de CO2, grâce à la réduction du transport de ces matériaux qui se trouvent ainsi au plus près des industries qui vont les réutiliser. De plus, le tri et la valorisation de déchets métalliques consomment moins d’énergie que la production initiale de ces matières premières.
Enfin, au-delà des bénéfices environnementaux, il faut évoquer la question financière. Le recyclage des déchets électroniques et métalliques constitue une nouvelle forme d’économie. Et plus les industries seront nombreuses à utiliser ces filières de recyclage, plus ces dernières seront structurées et plus importantes seront les économies générées.
Si une majorité des acteurs jouent le jeu, l’objectif que 65 ?s aciers utilisés soient issus du recyclage pourrait être atteint. De ce fait, le prix des métaux sera réduit de manière considérable. Ce qui fait que les coûts de production seront, eux aussi, impactés. Vous avez donc l’occasion de faire des économies tout en aidant la planète !
À l’heure actuelle, les effets des années de surconsommation des ressources se font ressentir à toutes les échelles. Les entreprises sont particulièrement impactées, car elles présentent une consommation de ressources plus importante : matières premières, énergie... Par ailleurs, leurs impacts sur l’environnement sont aussi plus conséquents que ceux des particuliers.
Parallèlement, cet été, nous avons connu, en France, des températures qui dépassent tous les maximums enregistrés au XX siècle. Si tout un chacun ressent les impacts du changement climatique, il devrait en être de même des solutions mises en œuvre pour faire évoluer la situation.
Ainsi, l’importance des enjeux liés à l’environnement et plus particulièrement à la gestion des déchets électroniques et métalliques peut être rappelée en quelques point principaux :
Les conséquences actuelles sont édifiantes pour la planète. Et les dommages continuent de s’aggraver. Si nous ne faisons pas le choix de faire évoluer nos pratiques maintenant, c’est l’avenir de toute l’humanité qui pourrait être remis en question.
Si les exploitations minières à grande échelle continuent, la dégradation de certaines biodiversités sera inversible. Ce qui pourrait conduire à la disparition de plus de la moitié de la faune et de la flore. Les prévisions pour 2 100 vont même jusqu’à annoncer que cela pourrait s’appliquer à plus de 2/3 des espèces connues.
En conclusion, le recyclage des métaux a de nombreux effets positifs pour la France, ses citoyens, mais aussi ses acteurs économiques. Il est donc important de continuer à en promouvoir les dispositifs afin que le recyclage devienne réellement l’une des fondations d’une démarche globale de développement durable.
03/10/2022
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Les panneaux photovoltaïques sont l'un des moyens les plus efficaces d'exploiter l'énergie solaire, mais ils ont aussi un côté sombre. En effet, en fin de vie, les panneaux photovoltaïques peuvent être difficiles à éliminer de manière responsable. S'ils ne sont pas recyclés, les panneaux continueront à libérer des matières dangereuses dans l'environnement une fois qu'ils auront été mis hors service. En termes de recyclage photovoltaïque responsable, la France montre l'exemple avec de nouvelles normes ambitieuses.
Les panneaux photovoltaïques sont des dispositifs qui convertissent la lumière du soleil en électricité. Ils sont utilisés pour alimenter les maisons et autres bâtiments.
Les panneaux solaires sont généralement fabriqués à partir de silicium. Ils doivent être éliminés correctement, car ils contiennent des matières dangereuses telles que le plomb et le mercure.
Le recyclage des panneaux solaires garantit que les substances toxiques ne sont pas rejetées dans l'environnement.
Le recyclage fait partie des techniques qui visent à mettre en place la résilience économique et climatique. Il peut prendre plusieurs formes dont le recyclage des déchets électroniques tels que les panneaux photovoltaïques.
La France dispose d'entreprises spécialisées utilisant des technologies uniques dans ce domaine. Les panneaux solaires sont majoritairement recyclés par des entreprises qui séparent les composants. Ces recycleurs vendent ensuite les matières premières aux fabricants ou utilisent les matériaux eux-mêmes dans la fabrication de nouveaux panneaux.
La France est à la pointe du recyclage des panneaux photovoltaïques et du développement des ressources renouvelables. En effet, notre pays est devenu un leader des énergies renouvelables. Le pays a été à l'avant-garde du recyclage des panneaux photovoltaïques et de l'expansion des ressources renouvelables, dans le but de répondre à ses besoins énergétiques avec des sources propres d'ici 2050.
L'engagement de la France en faveur des énergies vertes l'a amené à investir massivement dans l'énergie solaire, mais aussi dans l'éolien. Le pays a également investi dans l'énergie marémotrice et houlomotrice.
À leurs débuts, les panneaux solaires n'étaient pas aussi recyclables. Cela était dû principalement à la présence de matériaux qui n'étaient pas faciles à traiter lorsqu'ils atteignaient la fin de leur cycle de vie.
Les ingénieurs ont su remédier à ce problème. Leurs solutions font qu’à l’heure actuelle, seuls 5 à 6 % des composants des panneaux solaires ne sont pas réutilisables. Et la France se trouve en tête des initiatives.
Les plaques solaires ne sont pas un bloc uni, mais bel et bien un assemblage de pièces. De ce fait, le tout ne sera pas mis en récupération de la même manière. Pour bien comprendre la démarche de recyclage à mettre en place, la liste des éléments constitutifs vous sera utile :
Cette liste peut varier en fonction des constructeurs, mais elle donne une idée générale sur ce que contiennent les panneaux photovoltaïques.
Assimiler le concept de recyclage passe aussi par la connaissance des devenirs des différents composants. Cela pourrait être une bonne raison qui vous poussera à vous engager dans les panneaux solaires et à plus forte raison dans le recyclage de ces derniers.
Deux éléments se prêtent à un recyclage que l’on pourrait qualifier d’infini : le verre et l’aluminium. À savoir : ils représentent une part importante des composants utilisés pour la fabrication des panneaux solaires.
Pour le verre, il peut être refondu et utilisé dans la fabrication des bouteilles ou des bocaux. Grâce ce procédé, il peut être réemployé dans différents domaines. Il peut par exemple être transformé en fibre de verre. Matière principale utilisée dans l’isolation des logements sur le sol français.
L’aluminium, quant à lui, entre dans le cycle de recyclage des métaux. Ce qui implique qu’il servira dans la confection des ustensiles dédiés à un usage quotidien. Le recyclage des déchets électroniques va suivre à peu près le même processus.
Ce composant présente deux particularités par rapport aux deux précédents :
Ayant conscience de ses deux caractéristiques, vous pouvez maintenant comprendre le rôle qu’il joue dans le recyclage. Dans un premier temps, il peut être réutilisé pour refaire de nouveaux panneaux solaires. Cet élément est indispensable dans la transformation des énergies calorifiques en énergies électriques.
Les autres éléments sont utilisés de manière générale dans la construction de nouvelles plaques photovoltaïques.
Il est à noter que la durée de vie d’un panneau photovoltaïque peut atteindre les 30 ans. Le marché n’est ainsi pas encore à maturité, ce qui laisse à penser que des gains en termes de recyclage sont encore à venir.
Tout d’abord, soulignons que le processus peut être pris en charge par le revendeur de panneaux lui-même ou par des entreprises spécialisées en la matière. Mais que ce soit dans le premier ou le second cas, une ligne directrice de la démarche peut être dégagée.
Dans un premier temps, l’aluminium est pris en charge. Il représente 10 % de la masse totale d’un panneau. Dans la pratique, on le sépare des autres éléments. Cela fait, il prend un tout autre cycle de recyclage.
Il est à noter qu’il s’agit d’une des matières les plus rentables dans l’économie circulaire.
Le cuivre et l’argent sont ensuite récupérés. Pour ce faire, les câbles et les boîtiers électriques seront traités dans les différentes lignes de transformations de déchets. Le cuivre fait l’objet d’une forte demande sur le marché, ce qui fait que cette étape est particulièrement rentable.
Ces deux parties du panneau ôtées, il passe ensuite sous une machine qui le découpe en lamelle. Cette méthode permet l’extraction du verre, des composites et du silicium. Il est à noter que les trois composants suivent un cheminement différent et font chacun l’objet d’un traitement qui leur est propre.
Pour une entreprise, les actions mises en place dépendent souvent des gains que l’on peut en tirer. En la matière, l’opération de recyclage de plaque solaire ne manque pas d’arguments. Et pour ce faire, vous aurez à votre disposition un cadre légal qui vous accompagnera.
Les lois relatives à la transition énergétique sont nombreuses. Il existe un certain nombre de normes qui s'appliquent aux panneaux solaires. Elles ont l'avantage d'être appliquées lors de l'installation et à la fin de la vie du produit.
La législation est donc claire sur le sujet. L’entreprise qui s’est chargée de la mise en place de toute l’installation est tenue de récupérer les éléments lors du démantèlement. Par la suite, elle sera aussi dans l’obligation de trouver un organisme compétent en matière de recyclage.
Quand on sait que les considérations financières sont l'un des facteurs les plus importants dans la décision d'une entreprise d'investir dans un programme d'énergie solaire, le fait que cette opération puisse être rentabilisée est un point essentiel. C'est même l'un des points qui font la particularité de la politique française en matière de recyclage photovoltaïque.
Dans un premier temps, il est important de porter à votre connaissance que les sociétés qui prennent en main l’installation, l’import et les exports des panneaux photovoltaïques cotisent pour une redevance collective. Elles prennent également en charge le recyclage des panneaux photovoltaïques.
Pour les grands parcs de production solaire, l’affaire en est tout autre. La gratuité est ici presque atteinte. Dans la pratique, le recyclage génère des bénéfices. Et ce sont ces derniers qui serviront à financer toute l’opération.
Même si les actions commencent à se mettre en place progressivement, il est à souligner que les panneaux photovoltaïques en fin de vie sont encore très peu nombreux. Mais en prévision de la reconversion énergétique prochaine, l'État français et les organismes écologiques mettent en place des dispositifs pour faciliter le cycle de vie des outils de production d’énergie verte.
30/09/2022
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WE(ee)TRI ressources vidéos
31/08/2022
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Le processus d’échantillonnage des matières secondaires est primordial pour les différentes décisions technico-économiques. En effet, à la sortie des centres de tri, ces matières premières secondaires peuvent de nouveau être exploitées, pour un meilleur recyclage de ressources. Une journée technique est consacrée à ce thème afin de mieux le maîtriser.
« Échantillonner les matières secondaires pour la réussite du recyclage », tel est l’intitulé de cette journée dédiée au sujet de l’échantillonnage des matières premières secondaires. Il s’avère désormais que le recyclage est devenu au centre des préoccupations de nombreux acteurs. Par conséquent, il tend à s’industrialiser pour en augmenter l’efficacité.
Il faut effectivement avouer que la moindre erreur dans toute estimation de gestion des déchets pourrait entraîner d’importantes pertes financières. Cela pourrait également générer une certaine ambiguïté en ce qui concerne le processus opératoire déjà mis en œuvre.
Cette journée est mise au point par les groupes de réflexion « Recyclage et valorisation » et « Mime » (Minéralurgie et métallurgie extractive) de la SIM ou Société de l’Industrie Minérale. Elle s’est déroulée à Paris le 23 juin, quelques semaines après la 10e conférence internationale WCSB (World Conference on Sampling and Blending) de Kristiansand en Norvège (31 mai au 2 juin 2022).
Par ailleurs, il serait judicieux de rappeler que cette dernière couvre notamment les recherches effectuées sur la théorie de l’échantillonnage. Elle intéresse tout particulièrement les secteurs scientifiques et technologiques pour diverses raisons. Elle touche entre autres :
Pour revenir à cette journée technique consacrée à l’échantillonnage des matières premières secondaires, elle a un objectif précis. Il s’agit principalement de rassembler les principaux acteurs académiques et industriels désireux de confronter leurs expériences. Il sera question d’aborder ensemble la problématique relative à l’échantillonnage.
Le recyclage des déchets susceptibles de redevenir des matières premières est à l’heure actuelle au cœur des préoccupations. Cela passe indéniablement par la fragmentation et l’échantillonnage de la matière. Lors de cette journée du 23 juin, les acteurs principaux du traitement des déchets ont eu l’occasion de découvrir les différentes évolutions en corrélation avec la théorie de l’échantillonnage.
Il s’agit d’une journée où enrichir nos connaissances en ce qui concerne ce fameux concept d’échantillonnage. Y sont également abordés les sujets en rapport aux équipements requis pour ce projet et le recours à diverses disciplines complexes.
Pour un vrai succès du recyclage, il faudrait effectivement passer par cette étape d’échantillonnage des matières premières secondaires. Il s’agit d’un processus similaire à celui de l’échantillonnage des matières premières primaires. Maîtriser ces techniques permettrait en effet de réussir les démarches mises en place pour la réussite de différents projets de recyclage. Ce domaine se présente ainsi tel un grand défi.
La SIM invite notamment à connaître les bases et les avancées théoriques du principe de l’échantillonnage. Vous pouvez apprendre les bonnes pratiques qui se font en matière de recyclage des matériaux, des sols et des sédiments. Mais aussi découvrir les changements qui s’opèrent au niveau de la mine urbaine, concernant tout particulièrement la récupération et le recyclage des métaux et des minéraux valorisables.
Ces dernières décennies, la quantité des déchets ménagers a connu un accroissement exponentiel. L’urbanisation est l’un de ses principaux facteurs. Cela reste encore plus flagrant dans les pays en développement. De même, la composition de ces déchets est passée d’un profil organique à des matériaux de plus en plus complexes, comme cela peut être le cas des plastiques, des appareils électroniques en fin de vie et des emballages. Ils représentent d’importants risques pour l’environnement et pour notre santé.
La valorisation est donc devenue un grand pilier de la politique des déchets. Au niveau de l’économie circulaire, le recyclage se présente comme un processus contribuant à l’économie des matières premières. Il permettrait effectivement de réduire la pression à l’endroit des matières non renouvelables.
On voit dans le développement des filières du recyclage une grande volonté d’assurer une gestion plus cohérente et plus efficace des déchets. En ce qui concerne les matières premières secondaires, si leur recyclage est bien géré, elles pourront limiter l’usage des matières premières vierges, en étant efficacement réutilisées par les entreprises.
Si l’échantillonnage des matières premières primaires n’a pas mis de temps pour décoller, il a fallu quelques prises de conscience pour que ce processus d’échantillonnage s’applique également aux matières d’origine secondaire. Avec le recyclage qui commence à s’industrialiser de plus en plus, les différents acteurs n’ont pas le droit à l’erreur. Ils doivent effectivement bien gérer ces processus afin d’aboutir à une pleine réussite du recyclage.
Cette journée destinée à la théorie de l’échantillonnage des matières secondaires se présente comme un grand pas vers cet objectif. Découvrons en détail les éléments constitutifs de cette manifestation à travers son programme.
Constituée de 9 conférences, cette journée a vu la participation des académiques, des organismes publics et des industriels. Elle a abordé les bases et les fondements du principe d’échantillonnage des matières secondaires avant d’enchaîner sur les évolutions et les cas pratiques qui commencent à se démocratiser. Cela peut, par exemple, concerner les expérimentations réalisées dans les gisements ou d’autres milieux. On peut ainsi citer les zones fluviales, les sols pollués, les sédiments marins, les anciens sites industriels et les déchets liés aux cartes électroniques ou encore les DEEE.
La première partie de cette journée a commencé notamment par l’accueil des participants à la Société géologique de France (SGF). Son ouverture s’est faite sous l’égide du président du groupe de travail Recyclage et Valorisation, Philippe Cunin. Ce dernier a parlé, en particulier, des matériaux, des sols et des sédiments.
Puis s’est enchaîné un premier cycle de conférences. Voici un petit récapitulatif des conférences successives de cette première partie :
La deuxième partie des conférences s’est déroulée après le déjeuner. Les conférences se sont concentrées sur la thématique des mines.
Voici les détails :
La journée s’est achevée sur une conclusion apportée par Philippe Cunin.
30/08/2022
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Pour sa 15e édition, le salon Produrable aura lieu les 13 et 14 septembre 2022. C’est un événement organisé avec le soutien des ministères de la Transition écologique et solidaire, mais également de la Cohésion des Territoires. Produrable regroupe plus de 450 acteurs et collabore avec les principaux réseaux professionnels et médias.
Produrable est un salon dédié au développement durable et à la responsabilité sociale des entreprises, ou RSE. Il est organisé avec le patronage du ministère de la Transition écologique et solidaire. Il s’agit du plus grand événement européen, réunissant différents intervenants dans le domaine de l’économie durable. Cette année, le salon Produrable aura lieu au Palais des Congrès de Paris.
Cet événement consiste en un ensemble de conférences et d’activités de networking, le tout réparti sur deux jours. Le sujet évoqué tourne ainsi autour des thèmes relatifs à la RSE et la responsabilité sociale des marques, ou RSM.
Produrable collabore avec les principales sociétés spécialisées dans la gestion des DEEE ainsi que les médias spécialisés dans le domaine.
Aujourd’hui, on évoque de plus en plus le concept de Responsabilité Sociale des Entreprises, sans vraiment connaître son origine.
Il existe plusieurs origines expliquant la naissance du concept de la RSE. On mentionne fréquemment plusieurs mouvements ou courants, jugés comme à l’origine de la RSE telle qu’on la connaît aujourd’hui. En réalité, le concept de la RSE est né à partir des années 1960 dans la littérature consacrée aux entreprises.
Mais avant cette première apparition dans le monde de l’économie des entreprises, le XVIIIe siècle a déjà employé ce concept. En effet, la RSE est née de la doctrine sociale de l’Église catholique au travers de l’encyclique De Rerum Novarum. Il s’agit de la première encyclique à se pencher sur la question sociale. Celle-ci dénonce la concentration des richesses entre les mains de la bourgeoisie et des patrons qui versent des salaires insuffisants. Un début de RSE que l’on doit au pape Léon XIII, le pape « social ».
Le salon Produrable vise un objectif précis : « sauver nos biens communs pour garantir le bien commun ». Selon les constats, il existe bel et bien des solutions pour :
Quatre scénarios de transformation ont été avancés par l’ADEME et qui partent tous du même principe, à savoir : modifier les modes de consommations, d’aménagement du territoire, des technologies et des investissements productifs.
Un choix s’impose. En effet, choisir, c’est arbitrer, c’est innover, c’est prendre des risques, c’est oser les ruptures, c’est renoncer. Il faut donc du courage pour parvenir à une transformation.
D’ailleurs, certains précurseurs s’y sont déjà risqués avec succès. Tel est par exemple le cas de Biocoop qui a supprimé les bouteilles en plastique de ses rayons depuis 2 ans. Citons aussi le Maire de Loos en Gohelle qui, depuis 15 ans, développe la ville pilote du développement durable.
Pour sa 15e édition, Produrable évoquera le courage de ceux qui ont su s’engager dans cette voie pour atteindre cet objectif.
Le programme se déclinera selon 12 univers et parcours thématiques :
Ce sont plus de 8 000 visiteurs qui sont attendus sur cette nouvelle édition. Cette dernière ne regroupera pas moins de 450 intervenants, 55 startups et 280 partenaires et exposants à travers plusieurs temps forts.
Parmi ces derniers, on compte trois grandes plénières :
À cela, s’ajoutent deux plaidoyers :
Sans oublier les 5 master class, animées par des experts, qui seront proposées la veille de l’évènement, dans les locaux de BPI France :
À noter : le nombre de places est limitée à 20 participants par master class.
Le salon Produrable aura lieu au Palais des Congrès de Paris — VIPARIS. Il s’agit d’un site de congrès et d’exposition, facile d’accès, qui se trouve à deux pas des Champs-Élysées et de la tour Eiffel.
Ce quartier propose une offre de shopping haut de gamme et des zones de restauration très variées. Les petits comme les grands pourront profiter pleinement d’une offre de loisirs divers à savoir : le cinéma, les spectacles, les comédies musicales et autres activités au programme.
Naturellement, les lieux sont adaptés pour les personnes en situation de handicap. En effet, elles bénéficieront de places de stationnement adaptées et réservées. À cela s’ajoutent des ascenseurs qui desservent tous les niveaux et des sanitaires adaptés. Elles auront aussi à leur disposition une boucle à induction magnétique dans les amphithéâtres « Havane », « Bleu » et « Bordeaux ». Des espaces privatisables sont accessibles aux personnes à motricité réduite.
Produrable c’est l’occasion pour vous de participer au plus grand événement professionnel consacré aux acteurs et métiers pour la RSE. Vous aurez ainsi l’opportunité de :
De même, vous profiterez de programmes de qualité et ciblés avec des intervenants à la pointe de leurs sujets.
C’est aussi une occasion de nouer des partenariats forts.
Vous pouvez aussi vous appuyer sur une équipe réactive et à l’écoute de vos besoins autour d’un événement business engagé et cohérent.
Sachez que le visitorat de Produrable est notamment constitué de décideurs d’entreprises privées, à plus de 70 %. Les entreprises publiques, administrations, éco-organismes et ONG s’y déplacent également. Le top management représente environ les 2/3 des visiteurs du salon.
La 15e édition de Produrable se révèlera être le lieu incontournable pour les professionnels de l’environnement, mais aussi des personnes désireuses d’en connaître plus sur le sujet.
En parallèle du salon Produrable, vous aurez l’occasion d’assister à de grands événements marquants.
Cet événement est à l’initiative de la LINKUP FACTORY et Produrable. Il est soutenu par la MAIF, M6 PUBLICITÉ, IMEDIA CENTER et l’Union des marques.
Il met en avant les marques passant du statut d’acteur responsable à celui d’acteur contributeur au développement durable. L’enjeu est de nourrir leur positionnement classique avec des engagements utiles aux objectifs du développement durable.
Le lauréat de cette 5è édition sera révélé le 13 septembre 2022.
Cet événement se déroule en collaboration avec l’association de BPI France et Produrable. Il est organisé pour la 7e année successive autour d’un appel à candidatures sur le thème « Osez les transformations durables ». La présence des startups est sollicitée sur les Pavillons BPI France. Au programme, vous trouverez :
07/07/2022
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Quand les ressources de la terre seront-elles épuisées ? Voilà bien une question qu’on doit se poser pour savoir dans quel chemin s’engage l’humanité et quelles sont les actions qu’elle doit entreprendre. L’ONG Global Footprint Network calcule chaque année la date du jour du dépassement. Cet institut de recherche se penche ainsi sur la consommation des ressources limitées de la terre.
On parle de Jour du dépassement lorsqu’un pays a consommé toute l’énergie et toutes les ressources que la Terre est en capacité de produire dans une année.
Il caractérise la pression que l’humanité exerce sur l’écosystème.
Pour mieux comprendre, retenons qu’à partir de cette date, nous vivons déjà au-delà des ressources que la planète est en mesure de fournir. L’humanité vit donc le reste de l’année en négatif en matière de réserves naturelles. On peut également dire que l'humanité vit alors à crédit. Elle consomme plus que ce que la Terre produit.
Depuis l’année 1970, année du premier calcul du jour du dépassement, cette date est chaque année de plus en plus proche.
Ce jour avait, par exemple, avancé de 3 mois en 1996 (30 septembre), par rapport à celui de 1970 (30 décembre). En 2020, cette date a avancé de 4 mois par rapport au jour du dépassement pris en compte en 1970.
Pour la France, le jour du dépassement était le 5 mai pour l’année 2022. Cette date a été mise en avant par l’organisation environnementale WWF et correspond au moment où la terre n’est plus en capacité de restaurer les ressources de façon naturelle pour l’année en cours.
La planète n’est plus en mesure d’absorber les émissions de gaz à effet de serre de la population mondiale. Surtout si cette dernière adopte le même mode de vie que les Français.
Le jour du dépassement de la France pour 2022 présente une avance de 5 mois en comparaison avec celui de 1961, selon les précisions de WWF. Toutefois, cette ONG estime que le pays a la capacité et les moyens de faire mieux.
Cela dit, malgré ces statistiques effrayantes, il se pourrait que le jour du dépassement recule de 25 jours d'ici à 2027 si les efforts écologiques sont maintenus. Il faut pour cela qu’un plan de « planification écologique » proposé par l’ONU soit mis à exécution sous le nouveau mandat d’Emmanuel Macron. Il a effectivement promis « Une grande nation écologique ».
Parmi les objectifs de ce plan, selon les indications de WWF, on peut notamment citer :
La première cause de cet épuisement des ressources est la surconsommation. Elle impacte directement la biodiversité, dont l’exploitation démesurée des ressources végétales et l’extinction des espèces animales. Il y a également des ressources qui ne sont pas renouvelables. Il s’agit notamment des matières premières minérales et des combustibles fossiles.
D’après un rapport publié par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), d'ici à 2050, l’être humain aura consommé près de 140 milliards de tonnes de minerais. Dans les pays riches, les chiffres sont encore plus effrayants. Pour le cas par exemple des États-Unis, du Qatar et de l’Australie, les ressources naturelles dépensées avoisinent les 40 tonnes par habitant et par an tandis qu’elles tournent autour de 15 tonnes pour la France, l’Allemagne et l’Italie.
Les causes de cet épuisement sont multiples et ne sont pas sans conséquences. Parmi elles, on peut notamment évoquer :
Les impacts de l’épuisement de ces ressources naturelles sont énormes pour l’écosystème.
Ils peuvent en effet être terribles pour la planète et tous les êtres vivants. On peut évoquer :
Que des effets dévastateurs !
Sur la base de plus de 3 millions de données réparties sur 200 pays, l’ONG Global Footprint Network, située en Californie, procède chaque année au calcul du jour du dépassement. Pour cela, ces experts divisent la biocapacité de la planète par l’empreinte écologique de l’humanité.
On entend par biocapacité la quantité globale de la capacité régénérative de la biosphère pour répondre aux besoins humains. Quant à l’empreinte écologique, il mesure la quantité de surface terrestre bioproductive nécessaire à la consommation.
La somme de ce calcul sera ensuite multipliée par le nombre de jours dans une année, soit 365 jours. Pour le cas de 2021 par exemple, le jour du dépassement a été le 29 juillet où il aurait fallu 1,7 planète pour être à la hauteur des besoins écologiques.
En comparant avec le jour du dépassement de la France 2022, notons qu’un recul a été constaté en 2020, plus précisément en raison de la pandémie pendant laquelle presque tous les pays du monde ont fait face à des confinements successifs. Le jour du dépassement a effectivement eu lieu 3 semaines plus tard que l’année précédente.
En plus du confinement, le ralentissement de l’économie en 2020 explique également ce décalage. On a pu remarquer une réduction considérable de l’émission de CO2. Il y a aussi eu une déforestation moins conséquente durant cette période. Toutefois, ce bon résultat restera temporaire si des solutions pertinentes ne sont pas entreprises une fois que l’économie aura réellement repris.
Avec une méthodologie et des techniques affinées chaque année, il est devenu plus simple et plus rapide, mais aussi plus fiable de déterminer le jour du dépassement de chaque année pour chaque pays.
Pour le cas de la France, voici une petite liste des jours de dépassement depuis 1970 afin que vous puissiez les comparer :
Dans tous les cas, on attend beaucoup du nouveau quinquennat d’Emmanuel Macron. En effet, l’ONU le considère comme une opportunité de « renverser les tendances » si on applique la « planification écologique ».
Cela déterminera la date du jour du dépassement pour 2023.
24/06/2022
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Créée en 1970 aux États-Unis, l’Earth Day - ou Journée de la Terre - est célébrée tous les 22 avril. Elle permet à tout un chacun de faire des actions en faveur de l’environnement en vue de sa protection. Grâce au soutien des États, les entreprises et différents organismes agissent ensemble pour le bien de la planète. Chacun peut ainsi intervenir pour bâtir un environnement sain et durable.
Événement international annuel, l’Earth Day se tient dans 193 pays. Coordonnée par l’association « Earth Day Network », cette journée est destinée à sensibiliser la société et les citoyens. La première manifestation a eu lieu le 22 avril 1970 aux États-Unis. À son tout début, elle a été encouragée par Gaylord Nelson. C’était un activiste environnemental et sénateur à l’époque. Cette journée fut officialisée par l’ONU en 2009.
Le Jour de la Terre est une journée qui incite les citoyens de la planète tout entière à faire des actions en vue d’entretenir, de protéger et de préserver l’environnement des effets dévastateurs engendrés par l’homme. En conséquence, diverses activités peuvent être entreprises dans le cadre de cette journée.
Ce fut un accident de fuite de pétrole qui a fait naître l’Earth Day. En effet, en 1969, il y eut une marée noire au large de Santa Barbara, en Californie. Cette situation a marqué les esprits de manière considérable.
Environ 80 000 à 100 000 barils de pétrole ont été répandus dans la mer à ce moment-là et ont pollué les plages. Le sénateur Gaylord Nelson a alors décidé de conscientiser les jeunes à l’environnement.
En 1970, des lois ont été votées grâce à cette journée. Elles eurent un franc succès dès leur lancement. Près de 2 000 universités y ont contribué et environ 10 000 écoles s’y sont impliquées.
Cela a, par la même occasion, permis la mise en place d’une Agence de Protection de l’Environnement aux États-Unis (Environment Protection Agency - EPA). Trois grandes lois ont été également promulguées afin de préserver la biodiversité suite à cette journée. Elles concernant :
Pour l’édition du 22 avril 2022, ce sont approximativement 20 millions de personnes qui y ont participé aux États-Unis et près d’un milliard à travers le monde. L’Earth Day est devenu au fil des années le mouvement participatif défendant des causes environnementales parmi les plus importants de la planète.
Le choix du 22 avril 1970 par le sénateur Gaylord Nelson répondait à une stratégie précise : cette date se situait entre les vacances de printemps et la période des examens universitaires, permettant une mobilisation maximale des étudiants.
Le succès fut immédiat avec la participation de 20 millions d'Américains, dont les United Auto Workers qui rejoignirent le mouvement pour dénoncer les catastrophes environnementales comme celle de Union Oil à Santa Barbara.
Cette première manifestation nationale marqua la création de l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Depuis, chaque 22 avril rassemble des millions de citoyens autour d'actions concrètes pour préserver notre planète.
Mobilisant plus d'un milliard de personnes dans 193 pays, la Journée internationale de la Terre représente le plus grand mouvement civique mondial en faveur de la protection de notre planète. Reconnue officiellement par les Nations Unies en 2009, cette célébration marque l'engagement de la société civile pour l'harmonie avec la nature.
Sous l'impulsion de Denis Hayes, coordinateur des premières manifestations, cette journée a permis l'adoption de législations environnementales majeures et la création d'institutions dédiées. L'Accord de Paris sur le climat, signé symboliquement un 22 avril, témoigne de l'impact durable de ce mode de vie plus respectueux de notre environnement.
Le principal but du Jour de la Terre est de sensibiliser les citoyens aux impacts négatifs de certaines de nos actions sur l’environnement. Il vise à faire comprendre à tous les hommes de la planète les dangers auxquels celle-ci fait face.
Son objectif est de faire prendre conscience, à chacun de nous, de notre rôle sur la protection de l’environnement. De faire en sorte que des réflexes simples deviennent des habitudes, etc.
Concrètement, l’Earth Day est destiné à réduire l’usage du plastique et des produits qui ne sont pas biodégradables. Mieux gérer les déchets d’équipements électriques et électriques fait également partie des objectifs de cette journée. L’Earth Day contribue à l’élaboration de la réglementation sur ces déchets et bien d’autres encore.
Préserver l’environnement est l’une de nos préoccupations actuelles majeures. Face aux changements climatiques et à une dégradation exponentielle des milieux naturels, il nous faut agir pour préserver la biodiversité et l’humanité. Veiller sur l’écosystème est devenu crucial. Source de nourriture, d’habitat et d’oxygène, la biodiversité se doit d’être entretenue pour nous permettre une vie saine et sereine.
La journée de la Terre nous permet d’agir. Elle permet à chacun de nous d’avoir la possibilité de faire une action pour la planète. Mais pratiquement, qu’est-ce que chacun de nous peut faire à notre échelle ? Réponse : nous pouvons agir de différentes manières.
Chaque citoyen peut appliquer la règle des 3 R. Vous pouvez dans cette perspective Réduire, Réutiliser et Recycler. Tout dépend de chaque possibilité. Nous devons effectivement penser à minimiser les déchets autant que possible. Ne consommer que ce qu’il faut. Vous devez prendre soin de réutiliser les objets avant de les jeter et d’en acheter de nouveaux.
On sait qu’environ 8 millions de tonnes de plastique sont déversées dans les océans, d’après les statistiques évoquées par la Fondation Ellen MacArthur. Ces déchets, en plus de polluer l’univers marin, sont mortels pour les poissons et la flore marine.
Chacun de nous peut commencer à réduire l’usage des plastiques à usage unique. Il peut s’agir des cotons-tiges, des gobelets, des pailles, des capsules à café, etc. Vous pouvez aussi vous habituer à limiter les achats de produits emballés dans du plastique. Autre possibilité : refuser tout simplement les sacs en plastique.
Approximativement un tiers des aliments produits ne sont pas consommés et jetés. Réduire ce gaspillage pourrait nous aider à mieux préserver la biodiversité. Cela peut effectivement avoir un enjeu à la fois environnemental, économique et social.
Que pouvez-vous faire ?
Vous pouvez par exemple :
Autant de petites habitudes à prendre pour éviter de gaspiller inutilement les denrées alimentaires.
Planter des arbres
Lors de cette journée de la Terre, vous pouvez planter des arbres et sensibiliser les plus jeunes sur l’importance de cette action. Afin d’améliorer la vie sur la planète, la culture écologique reste importante.
Diverses autres petites actions au quotidien
De nombreuses autres actions peuvent être réalisées au cours de cette journée. Tout dépend aussi de votre inspiration. Vous pouvez nettoyer les alentours de votre quartier ou les lieux sujets aux dépôts de déchets tels que les plages ou forêts.
Pour cela, vous pouvez :
Lors de l’Earth Day, il est important d’agir comme étant un citoyen responsable, soucieux de l’écologie. Mais, le plus important encore, est de procéder ainsi tous les jours.
Pour aller plus loin, si vous voulez connaître le programme du Jour de la Terre, vous pouvez le faire en consultant le site officiel de cet événement. Vous devez pour cela aller sur Earthday.org. Pour le site français, vous pouvez visiter jourdelaterre.org. Vous pouvez y dénicher des actions qu’il est possible de faire où que vous soyez. Cela permet de consolider une synergie autour de l’écologie et de l’environnement.
Le thème de l’édition 2022 était basé sur « Investir dans notre planète ».
Désormais, cette journée permet à chaque citoyen, groupe ou association de s’inscrire en ligne sur un calendrier d’activités. Cette démarche peut vous permettre d’affirmer davantage votre volonté et vos initiatives écoresponsables.
Pour plus d'actualité : /ecologic-recyclage/actualites-deee?p=2
31/05/2022
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Réduire les impacts environnementaux afin de préserver la nature est l’une des raisons de l’existence de cette journée mondiale de la biodiversité.
Lors de cette célébration, divers organismes rappellent le rôle de chaque citoyen dans la préservation de nos écosystèmes, tout comme leur importance pour l’espère humaine.
La convention sur la diversité biologique (CBD) est entrée en vigueur en 1993. Depuis, elle a été ratifiée par 196 états. Visant principalement à défendre la biodiversité, cette convention internationale défend la protection des ressources génétiques et travaille sur l’utilisation des ressources naturelles de façon durable.
Tous les pays signataires de cette convention s’engagent à mettre en application diverses mesures destinées à assurer la protection de la diversité biologique. Ils doivent les appliquer dans leurs politiques nationales. Ces dispositions peuvent notamment concerner :
Quelles sont les initiatives pour préserver cette biodiversité ? Afin de stopper sa destruction, diverses solutions sont proposées. Elles peuvent être de natures très variées.
Par exemple, on peut évoquer la création de différents espaces protégés dans l’objectif de protéger les écosystèmes.
Il y a également ce qu’on connaît par le recyclage DEEE qui consiste à assurer une meilleure prise en charge des déchets d’équipement électroniques et électriques. Cette mesure consiste à catégoriser les appareils dotés de moteurs ou de batteries afin de gérer efficacement et facilement leurs déchets. Dans la catégorie 1 par exemple, on retrouve les gros appareils électroménagers tels que le réfrigérateur, le lave-linge, le lave-vaisselle et le chauffage. La catégorie 3 est composée des appareils relatifs à l’informatique et aux télécommunications, à l’instar des ordinateurs et des téléphones.
En réalité, le but est de pouvoir mobiliser tous les acteurs de la société dans cette lutte contre l’érosion de la biodiversité.
Il faut effectivement souligner que la question de la diversité biologique doit relever des préoccupations quotidiennes de chacun. Pour mieux la préserver, chaque individu doit adopter un mode de vie et de consommation à la fois écologique et durable.
Que peut-on faire pour bien tenir ce rôle ? Nous pouvons entre autres :
La coopération internationale et les différentes stratégies nationales ne suffisent pas pour protéger la biodiversité. Les citoyens ont également leur rôle à jouer pour assurer la sauvegarde de la nature. Tout le monde se doit d’être vigilant et ne pas mettre en danger les espèces, surtout celles qui sont déjà menacées.
L’Office Français de la Biodiversité (OFB) rappelle par exemple que les animaux de compagnie doivent ainsi être attachés lors des balades. Il insiste aussi sur certaines pollutions particulièrement néfastes pour la biodiversité. Il attire particulièrement l’attention sur les sacs en plastiques, les mégots de cigarette, les chewing-gums et d’autres produits encore pouvant contenir de l’arsenic. Chaque citoyen doit impérativement éviter de jeter ces déchets dans la nature, même s’ils paraissent négligeables par leur taille.
La biodiversité englobe tous les êtres vivants et l’ensemble des écosystèmes dans lesquels ils se trouvent.
Le concept de biodiversité existe depuis l’apparition de la vie sur terre. Mais c’est lors de la Convention sur la diversité biologique qui a été signée durant le sommet de la Terre de Rio de Janeiro, en 1992, qu’on a pris la mesure de son importance.
En 1993, la journée mondiale de la biodiversité a été établie par les Nations Unies. Par la suite, en 2000, elle a été fixée le 22 mai.
En tant que campagne mondiale, elle est menée par l’assemblée générale des Nations unies.
Son objectif est de sensibiliser tous les citoyens sur les enjeux de la préservation de toutes les espèces animales et végétales. Son thème varie chaque année en fonction des combats menés et des besoins.
Cette journée a été mise en place pour souligner particulièrement la nécessité de la conservation des écosystèmes. Elle encadre aussi toutes les initiatives prises dans le cadre de cette journée et relatives à la préservation de la biodiversité, qu’elles soient individuelles ou collectives.
Pourquoi cette diversité biologique est si importante et pourquoi devons-nous la préserver ? Elle nous permet principalement de nous approvisionner correctement. On y puise les ressources pour se nourrir, se soigner ou pour nous abriter. Elle assure le rôle de protecteur contre différentes catastrophes telles que les changements climatiques, l’érosion ou encore les inondations.
Pour que les écosystèmes puissent fonctionner convenablement, ils ont besoin de cette biodiversité. Voilà pourquoi, il est essentiel de la préserver. Elle a aussi la capacité d’instaurer l’équilibre nécessaire face aux systèmes exploités par l’homme.
Ces dernières années, de nombreuses espèces ont d’ores et déjà disparu en raison des exploitations intensives, dont l’extension disproportionnée des surfaces agricoles. Comme un écosystème est fragile, il peut facilement connaître une instabilité à la moindre intervention qui lui est extérieure.
Parmi les menaces qui pèsent sur notre environnement, et donc sur cette biodiversité, on peut notamment distinguer :
L’année 2022 signe la 29ᵉ année d’entrée en vigueur de la Convention sur la diversité biologique où sa mobilisation est plus que jamais nécessaire.
Pour le thème de 2022, il sera question de bâtir un avenir qui sera adapté à toutes les formes de vie. Malgré les évolutions technologiques que l’humanité a su imposer, son avenir dépend toujours entièrement de l’écosystème dans lequel elle évolue. Elle doit donc être en mesure de le préserver afin de vivre dans un cadre aussi sain que possible.
« Bâtir un avenir commun à toutes les formes de vie », tel est le fil directeur de la journée mondiale de la biodiversité pour cette année 2022. Cela s’inscrit dans le projet des Nations Unies visant à restaurer les écosystèmes. Cette biodiversité se présente dans bien des cas comme une excellente réponse à tous les défis de développement durable.
Ce slogan véhicule les approches éco-systémiques en corrélation avec le climat et d’autres solutions basées sur la nature, la sécurité alimentaire, etc. Ces fondements nous permettraient de mieux reconstruire notre environnement.
Pour rappel, la biodiversité assure environ 80 ? notre alimentation par le biais des plantes. Et encore 80 ? la population rurale dans le monde utilisent des médicaments traditionnels à base de plantes pour les remèdes. Autant de raisons qui font que cette diversité biologique est plus qu’importante.
31/05/2022
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Réduire la pollution des déchets électroniques grâce aux avancées technologiques du recyclage, c'est désormais possible ! Les statistiques démontrent que seulement 20 ?s déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) sont recyclés. Pour remédier à ce problème, différentes technologies tendent à se mettre en place. Il est donc temps de prendre au sérieux cette problématique et d’associer avancées technologiques et recyclage.
Tous les appareils électroniques défectueux ou devenus obsolètes deviennent des déchets électroniques. Comme le numérique est devenu une partie intégrante de notre quotidien, il n’est pas étonnant que de nouveaux appareils électroniques apparaissent très régulièrement. Depuis nos smartphones jusqu’à nos brosses à dents, ces gadgets façonnent nos vies. Avec une durée de vie devenue de plus en plus courte, ils finissent rapidement dans les décharges sans que nous ayons pris la peine de les réparer. De nouvelles technologies sont donc mises au point.
Dans le but d’améliorer le traitement des déchets électroniques grâce à des technologies avancées, de nombreuses entreprises publiques ou privées apportent leur contribution. Certaines tentent de développer une économie circulaire pour l’électronique. D’autres travaillent à reconditionner pour réutiliser ces appareils le plus longtemps possible.
L’industrie du recyclage est un plein essor. Cette pratique, au cœur de nombreuses problématiques, est devenue essentielle dans notre monde actuel. Avec une société de consommation de plus en plus hyper connectée, il n'est pas étonnant que nous connaissions une forte demande en matière d’équipements électroniques. Par conséquent, au bout de la chaîne, nous générons environ 50 millions de tonnes de déchets électroniques par an. D’ailleurs, nous constatons une nette progression d’année en année. Une valeur de matériau estimée à approximativement 50 à 60 millions de dollars.
Grâce à la présence d’éco-organismes agréés, aussi bien en France que dans d’autres pays, il existe une législation et différents processus de recyclage qui s’opèrent dans chacun d’eux. Dans ces déchets électroniques, il est essentiel de mentionner que de multiples composants chimiques sont présents. Il n'est possible de recycler qu'une minorité d'entre eux. Nous pouvons notamment parler des métaux rares, voire précieux comme :
Ces métaux font souvent l’objet de traitements pour être récupérés puis valorisés. Quand aux autres matériaux, ils sont malheureusement fréquemment rejetés dans les décharges. Afin d’être en accord avec le concept de l’économie circulaire, la meilleure solution serait de remplacer ces équipements électroniques à leur fin de vie et d’éviter l’obsolescence programmée. Encourager le recyclage des déchets électroniques permettrait la réutilisation partielle de ces appareils.
Le nombre d’appareils électroniques croît de façon exponentielle. Il devient crucial de penser à la gestion de leur fin de vie.
Afin de mieux préserver l’environnement des déchets nocifs, deux solutions peuvent se présenter pour limiter la production de DEEE. Soit utiliser ces appareils le plus longtemps possible pour retarder leur remplacement et donc il y aura moins de fabrication avec une demande modérée. Soit en optant pour des produits reconditionnés.
Puis, lorsque vos appareils sont devenus hors d’usage, vous devez penser à une collecte sélective. Des bennes à ordure destinées tout particulièrement à cet effet sont mises en place un peu partout, notamment chez les revendeurs, dans les déchetteries… En fonction de leur état, ces déchets électroniques pourront être recyclés ou reconditionnés.
Mais le tri à la source est que l’une des premières étapes. Elle commence effectivement par la collecte des appareils.
Ensuite, démonter, trier, broyer, dissoudre… Ces différentes technologies sont adaptées pour le traitement des DEEE.
La raison de mettre en pratique le recyclage des déchets électroniques est en fait très simple : il s’agit de préserver l’environnement. Comme les métaux lourds contenus dans ces appareils sont particulièrement polluants et nocifs, il est crucial d’éviter autant que possible qu’ils se retrouvent dans la nature.
SCARCE est un laboratoire franco-singapourien œuvrant pour l’économie circulaire. L’Université technologique de Nanyang à Singapour et le CEA (Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies) y collaborent dans l’objectif de proposer d’autres méthodes de tri pour le recyclage des déchets électroniques.
Procréer au recyclage des matériaux contenus dans une carte électronique est loin d’être une mince affaire. D’après les affirmations de son co-directeur, Jean-Christophe Gabriel, on ne peut récupérer que seulement 30 ? la masse d’un tel dispositif. L’objectif pour eux est d’être en mesure de recycler plus d’éléments. Cette technologie novatrice se base essentiellement sur le tri et l’extraction.
Pour l’extraction du plastique, l’équipe de ce laboratoire suggère notamment d’utiliser des lasers. Ils permettent de cerner la présence d’additifs pouvant être toxiques. On peut par exemple parler du retardateur de flamme bromé afin de trier facilement les plastiques recyclables de ceux qui ne le sont pas. Quant aux métaux et autres composants électroniques, l’analyse par rayons X permet de révéler la nature de chaque élément.
Rendre facile l’extraction liquide-liquide est également parmi les projets du laboratoire Scarce bien que ce procédé soit encore coûteux. Il sera question d’optimiser les procédés par le biais de la micro fluidique.
Le recyclage des produits électroniques peut désormais passer par des processus d’automatisation. Il faut bien le dire, les périodes de crise peuvent très bien amener à d’importantes innovations. Voici donc venu un temps où les opérations de recyclage et de traitement de déchets doivent être plus efficaces. Des progrès considérables ont ainsi vu le jour afin d’automatiser les processus de tri. En plus de permettre un gain de temps considérable, cela a permis d’améliorer nettement la qualité et la pureté des tris. Il y a en conséquence de moins en moins d'interventions manuelles.
Parmi ces avancées en matière de recyclage des déchets électroniques, nous pouvons parler de l’évolution apportée par la China National Sword, une initiative politique lancée en 2017. Avant cette année, les déchets recyclés contenaient encore à peu près 10 % d’impuretés. Suite à cette initiative, un standard d’un taux maximum de 0,05 % est devenu la norme et a été adopté par d’autres pays.
Cette technologie d’automatisation du traitement des DEEE permet d’assurer une meilleure séparation des matériaux qui étaient auparavant mélangés lors du processus de recyclage. Dans ce cadre, les experts déploient des matériels sophistiqués qui leur permettent de mieux classer les matériaux. Par conséquent, ils peuvent distinguer facilement :
Cette méthode moderne ne permet pas seulement de faciliter l’étape des tris. Elle offre également la possibilité de distinguer et de repérer de fines différences moléculaires dans l’objectif d’isoler des matériaux plus purs. De plus, elle réduit considérablement le coût du traitement.
Désormais, nous pouvons réaliser une multitude de tâches grâce à une connexion Internet. Un nombre important de composants des circuits de recyclage est actuellement connecté. Il est ainsi tout à fait possible de connaître les informations relatives à ces déchets à distance grâce à une gestion intelligente des déchets. La précision du tri est nettement optimisée. L’efficacité du fonctionnement du recyclage s’en trouve également améliorée.
Mais ce n’est pas tout. L’utilisation de l’intelligence artificielle a rendu les calculs plus précis et plus importants. Place maintenant aux poubelles intelligentes. Les données concernant leur contenu sont mises à jour en temps réel. Ces poubelles connectées ne travaillent pas seulement à récolter les déchets électroniques. Elle se charge en même temps d’envoyer les données afférentes afin d’analyser la production de déchets des citoyens.